lundi 4 février 2008

Jaco

Apres deux jours a Manuel Antonio, nous avons continue notre remontee de la cöte pacifique pour s'arreter a Jaco, Connue pour etre une station balneaire sans charme. Effectiviement un peu gros et sur frequente, surtout quand on debarque le dimanche. Mais le soleil est bon partout et nous decidons de coller a Jaco pour deux jours, question de profiter enfin de l'internet haute vitesse, et surtout de notre petit hotel pas cher, tres tres propre, avec douche priovee et tele cablee. Aujourd'hui nous sommes le 4, et nous comptons quitter Jaco demain matin en direction de Rasta Town, et j'ai nommee; Montezuma, sur la peninsule de nicoya.... On se demande encore si on fera ensuite une incursion dans les terres pour visiter le parc national de Monteverde, mais c'est un bon detour, et les parcs sont tres chers pour les etrangers. Et puisqu'on en a deja visite deux, on verra avec le budget qui est deja defonce un peu si on peu se permettre un autre 30 dollars de droits d'entree.
Bon, on essaie de se brancher le plkus tot possible pour continuer nos recits, et esperons que les photos ont reussies a passer pendant que j'ecrivait. J'ai l'impresion que Flickr a flipper...Flipper...

Á travers le Cerro de la Muerte

...Alors voila, continuons...

Vers le 27, nous avons rempli la Kia de nos bagages et descendu une derniere fois le sentier defonce pour se diriger vers San Isidro del General en empruntant la surprenante route du Cerro de la Muerte. Au plus haut nous etions a 3500m au dessus du niveau de la mer. Une route en zig et en zag pas possible. De San Isidro nous avons traverse une autre chaine de collines pour rejoindre la cöte Pacifique et notre premiere escale de deux jours fut Dominical, un petit bled de rien devenu le rendez vous des surfers. C'est la que jUles a dailleurs pris ses premieres lecons de surf. Il est excellent.

Une fois subit nos premiers coups de soleil, nous avons quitte Dominical pour rejoindre le jeudi, apres 50km de route defoncee, le parc national et station balneaire de Manuel Antonio. N'oublions pas de dire que sur la route nous nous sommes arretes a Matapalo pour dire Bonjour a Philippe, un ami de notre copain Jean Louis qui a quitte Montreal il y 15 ans pour acheter une Pulperia sur le bord de ce chemin de garnotte. Un gars super sympa, mais bon yenne qu'il y a de la poussiere dans ce coin de pays.
Manuel Antonio offre de tres belles plages et un tres beau parc ou on peut voir plein d'animaux dont une multitude de singes capucins. Mais il y a aussi beaucoup de monde.

Le temps perdu...

Ouais, desole, on a pas trouve avant aujourd'hui d'internet digne de ce nom...tout etait trop lent, comme notre vie ici.

Alors resumons unpeu ce qui s'ets passe depuis le 22 janvier... D'abord, saviez vous que nous avons recupere sans encombre notre belle Lyne a l'aeroport de San Jose le 23 janvier? Et avec nos bagages en plus, que nous avons trouves dans un petit reduit mise a la disposition d'Air Canandouille a l'Aeroport santa maria de Ajuela. Alors tout rentrait dans l'ordre.

Nous avons alors traverse la ville de San Jose (un vrai cauchemar) pour se rendre deux heures plus loin dans notre belle vallee d'Orosi ou Lyne a pu faire connaissance de la famille Solano qui nous prete la maison dans la maontagne. Des gens craquants. L'incarnation de la bonte multipliee par 125.

Une semaine dans notre casita entouree de cafeiers, de bananiers, d'orangers et de pamplemoussiers. Il n'y avait qu'a tendre la main pour se servir a manger... Sur place, nous avons quelques fois quittes la magnifique vue que nous avions sur la vallee pour faire quelques visites, dont celle du parc national Tapanti. Aussi baigne notre derriere dans une section de la riviere ou emergeaient des sources thermales naturelles. Puis visite des ruines dans le secteur de Cachi. Nous avions tout ce qu'il fallait a la maison pour cuisiner, et descendions au village de Orosi de temps en temps pour acheter des victuailles ou pour donner un coup de fil. Les montees et descentes du village a la maison etaient plus qu'impressionnantes; Une piste ultra pentue et completement defoncee. On se dem andait a chaque fois si la Kia allait survivre. on poursuit par un autre message...