Voila, votre Carlos Noriega de service a maintenant le temps de decrire plus a fond la situation d'aujourd'hui. D'abord soulignons que nous sommes partis de sainte-adele a 3h40am par une temperature de -31 centigrade, pour arriver a San Jose Costa Rica sous le soleil et 27 degres. Un saut de 58 degres en moins de 10 heures. Il faut donc pas s'etonner si on vous dit que l'on voit des toucans en habit de plongee et coiffes de dreds multicolores tourner autour de notre tete.
Nous avons ete accueillis a l'aeroport par par une grosse torche en uniforme d'Air Canandouilles qui a du lever ce qui lui sert de fessier pour aller nous chercher deux sacs plastiques a 3 metres de son comptoir. La madame etait contrarie quand jai dit que je partais pas sans mettre les sacs a dos dans un autre sac. Bon! L'embarquement s'est bien deroulé mais notre commandant de bord, leonard Bouchard, ayant consommé trop de Prozac la veille, a quitté le quai avant que le check up général ait été terminé. Ce qui fait quàu moment de passer au dégivrage qui nous retardait déjà, les waitress de láir ont constaté que les chiottes étaient bouchées. Et puisqu'il est interdit de voler avec des latrines hors dùsage, ya fallu revenir au quai qui avait été kidnappé par un avion dáir Kaboul entre temps.
Tic tac tic tac, on attend et on devine quón va peut-etre manquer notre transfert Toronto-San Jose. Les ingénieurs de la NASA montréalaise finissent par monter à bord et extirpe un étron antillais de nos cuvettes...applaudissements généralisés... On met les gas jusqu'au dégivrage et à 8 heures on est quelque part entre jupiter et la ville reine. Atterissage a Pearson à 9h10. Le vol pour San Jose est prevu pour 9h15. La speakerine qui parle franÇais comme une geisha de Dallas nous annonce que le vol 998 va peut-etre nous attendre. Nous voila parti pour le 3km Steeple chase, puisqu'ils se sont parqués le plus loin possible de notre correspondance. Quelques scuse me scuse me plus loin on arrive moi et Jules à la porte 175 ou la gentille aircanadagirl nous acueille par un "Here you are" bien senti. Marmonnant un léger va chier nous nous engouffrons dans un vieux A-319 avec des tévés meubles.
Cinq heure de vol, en compagnie d'un couple sympa et d;une centaine de Rastas...Houla ca sent le patchouli. Beaucoup de temps des lors pour renouer avec les mathématiques. N'est-ce pas mon ròle d'accomnpagner mon garÇon dans la poursuite de ses études, même entre ciel et terre? Je calcul donc que si nous avons eu 8 minutes pour attraper ce vol, nos bagages eux, qui sont mal dotés côté locomotion, ont dù se contenter de faire une visite de l'aéroport de Toronto. SoupÇons confirmés à notre arrivée, le préposé des bagages d'Air Canandouilles, que les autorités costaricaines ont confiné à un armoire à balais, nous annonce que nos bagages devraient "Normally" arriver dans deux jours...
On s'en fait pas, on est jeunes, on est beaux, pis on a nos passeports pis notre fric. Comme prévu, notre hotel nous envoie un chauffeur kamikaze privé, et nous voila zigzagant parmi les ticos apeurés,´à destination du centre-ville. Notre hotel étant doté d'une jolie piscina, on décide d'aller refaire nos bagages, en commenÇant par un maillot. Fin de soiré sur Internet avec la famille qui s'informe de nos déboires sur internet, et tout le monde constate qu'Air Canandouilles n'aura pas réussi à nous enlever le plaisir d'enfin gouter à la PURA VIDA...
Scusez la...la prochaine sera plus courte, mais la, fallait régler des comptes. Asta luego.
1 commentaire:
Vraiment très drole tes commentaires. Évidemment, nous n'étions pas ceux qui étaient pris avec les andouilles de canadouilles ou les rastas du Costa Rica!
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